Benjamin Durafour | |
Sa tante en jouait, sa maman en écoutait beaucoup... Dès l'âge de 6 ans, Benjamin Durafour, né le 26 décembre 1985, s'intéresse à l'accordéon. Il prend des cours à Nuits-Saint-Georges, à Gevrey-Chambertin, à domicile, avec Claude Pasquier, musicien de Warszawa dont il intégrera le groupe, participant à ses concerts et défilés. Tout en menant ses études -Bac S à Brochon, DEUG économie et gestion à l'université de Dijon-, il poursuit au conservatoire de Dijon. Une rencontre avec Frédéric Deschamps l'amène à préparer les concours internationaux où il se distingue : finaliste de la coupe mondiale d'accordéon au Portugal en 2005, vainqueur du trophée de la ville de Genlis en 2004 et 2005. En août 2005 et février 2006, il passe dans l'émission de Pascal Sevran, Chanter la vie. Il participe à la tournée des Zénith, La plus grande Guinguette du monde, à Nancy et Lyon avec Michel Pruvot, André Verchuren, Maurice Larcange, Louis Corchia... Prenant une année sabbatique, il anime les bals, soirées, thés dansants, mariages, concerts..., dans le but d'en faire son métier. Renseignements, tél. 03.80.51.86.78 ou 06.98.01.56.76. |
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Autor: . - Datum: 10.01.11 00:10 Uhr |
Pierre Laval | |
Pierre Laval, né le 24 Juin 1989 à Reims, fait aujourd’hui partie de la jeune génération particulièrement prometteuse d’accordéoniste français. Passionné depuis toujours par l’accordéon, il commence à prendre des cours à l’âge de 9 ans auprès de Mrs Trigaux, professeurs dans sa région. Cette passion pour l’accordéon et pour la musique en général s’accompagne d’un intérêt profond pour les techniques de sonorisation. Il choisit donc dans un 1er temps de suivre une formation dans cette voie. En 2006 une fois celle-ci achevée il décide de se consacrer entièrement à l’instrument et devient étudiant dans le Puy de Dôme au C.N.I.MA J.MORNET, En parallèle Conservatoire Régional de GENNEVILLIERS pour passer son diplôme de conservatoires. Au sein de ce centre son talent éclot très rapidement. En 2007, il participe pour la 1ère fois aux grandes compétitions internationales et décroche dès lors une 3ème place au Trophée Mondial et à la Coupe Mondiale. Ces résultats exceptionnels pour une 1ère participation ne laisse pas l’ombre d’un doute quant à l’avenir de ce jeune homme qui sera indéniablement faire sa place dans le monde de l’accordéon, Tout au niveau national qu’international. - Concours de 1997 à 2006 C.E.A et U.M.P.E - Participation au concours A.C.F ( Accordéon Club de France ) Termine premier en catégorie Coupe Divertissement Junior avec Coupe - Mars 2007, Deuxième prix en catégorie ESPOIR au concours international JEUNES TALENTS de MONTROND-les-BAINS (42) - Participation à la Coupe du Monde à Washington du 13 au 19 Août 2007 Termine troisième en catégorie Junior Variété. - Participation à Castelfidardo en Italie du 8 au 14 Octobre 2007 Termine cinquième en catégorie Junior Variété. - Participation au Trophée Mondial à Samara en Russie du 5 au 11 Novembre 2007 Termine troisième en catégorie Junior Variété. - Participation à l'Accordéon Club de France (ACF) à Clermont Ferrand le 13 Janvier 2008 Termine premier en catégorie Coupe Divertissement Senior. - Participation au Grand Prix International 2008 de Montrond les Bains 1er Prix en Catégorie Espoir le 21 Mars 2008. - Participation à Klingenthal en Allemagne du 2 au 8 Mai 2008 6ème Prix en Catégorie Variété - Participation au Trophée Mondial en Bosnie (Sarajevo) du 1 au 5 Octobre 2008 6ème Prix en Catégorie Senior Variété - 2ème Prix à la Coupe Friedrich LIPS à CHELYABINSK le 12 Novembre 2008 (Russie) - 1er Prix au Concours International « Jeunes Talents » à NOVOSSIBIRSK du 7 au 18 Janvier 2009 (Russie) - 23 JUIN 2009 - DEM (Diplôme d'études musicales) du conservatoire de GENNEVILLIERS |
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Autor: . - Datum: 10.01.11 00:06 Uhr |
Jo Privat | |
Né en 1919 à Ménilmontant (Paris). 1926 - Une vieille tante lui achète son premier accordéon, un petit diatonique. Il travaille avec Paul Saive. Jo joue dans les petits bals de quartier, puis il fait ses premières armes dans un orchestre de Bruxelles, avant de passer à la «Brasserie Universelle» de Metz et à la «Taverne Lilloise». Il s'installe chez «Marius», un bal rue des vertus à Paris. 1939 - Jo France et Jo Lallemand ouvrent un bal dans l'ancien cadre de Vernet : «Le balajo». Jo Privat fait son entrée dans le «rue de Lappe», il ne quittera plus le Balajo. Sa carrière le mènera à travers le monde entiers. On pourra le voir au cinéma, l'entendre sur les ondes. Ses compositions à succès sont légendaires. |
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Autor: . - Datum: 10.01.11 00:04 Uhr |
Astor Piazzolla | |
Astor Piazzolla explique l’histoire du tango, et son rôle dans celle-ci, en la divisant en plusieurs courants. Le tango argentin traditionnel (depuis 1880), le «grotesque tango hollywoodien de Rudolf Valentino, terminé par un ‘olé’ espagnol», le tango dansant créé par Anibal Troilo qui date de 1940 «quand tout Buenos Aires s’habillait, parlait, et marchait comme un tango.» «Et quand je suis arrivé en 1954, un tango différent apparût, intellectuel, un tango qui n’était pas chanté ni dansé, c’était un tango pour penser.» Le Tango Nuevo est apparu en 1954 et résume toutes les expériences musicales de Piazzolla à cette époque, il choqua les traditionalistes. C’était le résultat d’une éducation classique, d’un intérêt pour la musique folklorique de son pays, le jazz et toutes les autres influences qu’il amassa tout au long de sa vie très cosmopolite. Il est né en 1921 à Mar del Plata, Argentine, de parents immigrés Italiens. De 1924 à 1937 il vécut à New-York avec sa famille et débuta des leçons de piano avec Bela Wilda (un des élèves de Rachmaninov) qui arrangea également des compositions de Bach pour bandonéon, un instrument que le jeune Astor se vit offrir par son père à l’age de neuf ans. Bientôt, le jeune bandonéoniste voulut attirer l’attention de Carlos Gardel, le plus grand nom de l’époque dans le monde du tango. Ils collaborerons sur la partition de «El dia que me guieras» et ceci marquera le début de la longue carrière de Piazzolla comme compositeur de musique de film, une carrière qui compta une cinquantaine de projets. Il est intéressant de noter qu’il refusa deux offres intéressantes : en 1935 l’invitation de Gardel de déménager à Hollywood, et, en 1972 l’offre de Bertolucci pour le «Dernier Tango à Paris». En 1937 il retourna à Buenos Aires et rejoignit le cercle musical de la ville. Il pris contact avec deux personnes particulièrement importantes pour son évolution : Alberto Ginastera avec qui il commença à étudier la composition en 1940, et Anibal’Pichuco’Troilo, bandonéoniste et leader d’un orchestre célèbre. Ce dernier était la grande idole de Piazzolla et il eut l’habitude de jouer avec lui jusqu’en 1946 quand il forma son Orquesta Tipica, à cette époque, encore traditionnel. 1954 fut l’année du déclenchement de sa carrière : après avoir gagné plusieurs prix de compositions et terminé ses études de direction d’orchestre avec Hermann Scherchen, il alla étudier la composition à Paris, sponsorisé par le gouvernement français. Sa tutrice sera Nadia Boulanger, la fameuse compositrice et pédagogue. Il arriva, selon ses propres dires, avec «50 - 60 kilos»(!) de musique symphonique, de chambre et pour piano mais elle lui conseilla (et cela s’avéra crucial) de construire son propre style sur la tradition du tango qu’il pourrait enrichir de toutes les autres choses qu’il connaît, et d’abandonner la musique ou il y a «du Bartok, du Stravinski, du Hindemith et pas de Piazzolla». Une autre grande influence fut le fait que Paris était à l’époque la capitale mondiale du jazz et Piazzolla eut des contacts avec de nombreux musiciens célèbres. Il fut particulièrement impressionné par Gerry Mulligan (saxophoniste baryton) avec qui il collabora en 1974, et le vibraphoniste Gary Burton avec qui il joua au festival de jazz de Montreux en 1986. De retour en Argentine il forma l' 'El Octeto de Buenos Aires'. Il présenta son nouveau tango et rencontra une totale désapprobation des tangueros qui n'y perçoivent qu'une ridiculisation de leur tango national. Il devint l'objet de menaces et d'intolérance, jusqu'a le mettre physiquement en danger. Personne ne l'épargna, pas même Jorge Luis Borges qui un soir après avoir écouté une partie de son concert se leva et hurla a son collègue Ernesto Sabato «Partons, parce que ce soir on ne joue pas de tango ici» (Piazzolla ne le prit pas mal car quelques années plus tard il composa plusieurs thèmes sur une sélection de poèmes de Borges). En 1960, il forma le Quinteto Nuevo Tango (bandonéon, violon, piano, guitare électrique, contrebasse), probablement son meilleur groupe. En 1963 il reçoit le prix Hirsch et compose «3 Movimientos Sinfonicos» que Paul Klecki dirige la même année. A la fin de 1967 Astor Piazzolla écrit avec le poète Horacio Ferrer l’opérette «Maria de Buenos Aires» qui fut montée et enregistrée l’année suivante. Ensuite toujours avec Ferrer, commence une nouvelle étape pour Piazzolla, le tango chanté : il compose en 1969 une série de Ballades et Préludes. Il participe à la fin de cette même année au Premier Festival de la chanson de Buenos Aires, et sa chanson «Balada por loco»(ballade pour un fou) interprétée par Amelita Baltar, se révèle comme étant le plus grand succès de l’année et bat tous les records de vente de disques. A partir de ce moment, le phénomène Piazzolla commence à prendre des dimensions particulières, transformant ses succès de foules, consacrant sa musique comme une authentique expression de Buenos Aires. En Mai 1971, il compose avec Horiaco Ferrer «El Pueblo Joven» ( le Jeune Peuple), oratorio pour Bandonéon soliste, chanteuse, récitant, ballet, chœurs orchestre à Cordes et 3 percussions. Cette œuvre recevra sa Première mondiale en Décembre 1971 à la TV de Sarrebruck. En février 1972, Prix de la chanson au ONDA NUEVA FESTIVAL de Caracas avec «La Primera Palabra» chantée par sa femme Amelita Baltar. Dans les années 70, Piazzolla commença à se construire une carrière européenne. Il commença par le pays de ces ancêtres en donnant une série de concert à l'institut Italo-Latino Américain de Rome. Il ne reçut la reconnaissance du publique que dans les années 80. Les plus grands noms du jazz contemporains (Joe Zawinul, Pat Metheny) le salut comme l'un de leur musicien favoris et Grace Jones atteint l'apogée de sa carrière grâce a son Libertango (I've seen that face before). Il passa presque la totalité de ses dernières années à Buenos Aires ou il mourut le 4 Juillet 1992 d'une attaque cardiaque. |
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Autor: . - Datum: 10.01.11 00:03 Uhr |
Duo Paris-Moscou | |
La musique est souvent faite de rencontres extraordinaires, d'alchimie entre des personnalités, de complicité et de complémentarité autour d'une passion commune. La naissance du duo Paris-Moscou en est la parfaite illustration. En 1997, à Larodde, un tout petit village d'Auvergne, la route d'un jeune sibérien (Roman Jbanov) croise celle d'une jolie bourguignonne (Domi Emorine). Cette rencontre improbable a lieu dans le Centre National & International de Musique & d'Accordéon (CNIMA) dirigé par M. Jacques Mornet ou nos deux jeunes virtuoses de l'accordéon étaient venu s'installer pour parfaire leurs études musicales et se préparer aux concours internationaux. C'est la confrontation de 2 univers, de 2 cultures, de 2 façons de jouer, de 2 conceptions de la musique l'une plutôt orientée vers la variété française et le musette, l'autre plus classique, orientée vers la musique traditionnelle russe. Rencontre musicale donc, mais aussi humaine, culturelle et amoureuse. Très vite nos 2 accordéonistes commencent à faire des concerts côte à côte : au début ils jouaient à tour de rôle pour faire découvrir l'accordéon sous différentes facettes, puis pour clore le concert ils s'offraient en duo au public. Ils ont donc commencé par monter 2 pièces en duo : l'une d'un compositeur russe : «Fantaisie russe» et la seconde de compositeurs français «Boutade» (que vous pourrez écouter sur leur premier CD en duo). Le public séduit par cette formation originale réclamait encore les morceaux en duo. Plus ils s'investissaient dans la culture et la musique de l'autre, plus leur plaisir de jouer ensemble grandissait, l'osmose était parfaite tout en gardant la personnalité de chacun. Petit à petit, un répertoire en duo se construit pour faire voyager le public à travers les époques, les styles, entre «Paris & Moscou». Avec l'humour de Roman, l'enthousiasme de Domi ces voyages sont toujours des moments de bonheur et de joie partagés. Avec le disque «Duo Paris Moscou», Domi et Roman ont voulu faire découvrir au public leur façon de communier ensemble autour de l'accordéon, ils vous invitent à partager leurs émotions, leurs passions, ils vous invitent à voyager avec eux entre deux mondes, deux cultures si éloignées et pourtant tellement proches… De Paris à Moscou, de la Bourgogne à la Sibérie, du Musette français au classique traditionnel russe, c'est la fusion de 2 êtres, de 2 cultures, de 2 musiques, de 2 accordéons qui se répondent et chantent ensemble pour un créer un nouveau style. |
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Autor: . - Datum: 10.01.11 00:02 Uhr |
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